Je trouve votre argumentation assez biaisée.
C’est comme reprocher à un fils ce qu’a pu faire son père.
Ce n’est pas pour autant que je rejette le rapprochement entre les deux personnages.
Je trouve qu’ils ont en commun ce qui m’a toujours fait préférer Mendès à Mitterrand.
La volonté de gagner à tout prix, sans considération pour les gens et sans convictions véritables, l’a-t-elle acquise à l’Elysée ou l’avait-elle déjà en elle ? L’avenir va nous dire où ça risque de la conduire.
Je pense qu’en réaction, elle ouvrira un boulevard aux Le Pen de demain.