Au nom de Dieu clément et miséricordieux.
Encore un article islamophobe ! C’est pour protéger les femmes qu’on leur impose le port du voile, et quand on sait de combien de morts l’usage de l’automobile a été responsable depuis un siècle, on se dit qu’en Arabie Saoudite, grâce à cette disposition particulière, il y en a un certain nombre qui sont encore vivantes et qui devraient pourtant avoir rejoint depuis longtemps le paradis d’Allah. Le problème, ce n’est pas en Arabie Saoudite qu’il se pose, c’est en France, où l’on voit tant de femmes, sur les boulevards, au volant des petits cercueils à roulettes. Fort heureusement, on ne tardera pas à y appliquer aussi la charia. Grâce à l’aide du Qatar, ce sera d’abord dans les banlieues où, Dieu merci, les femmes jouissent de plus en plus massivement du voile qui les protège des regards de la tête au pied, et de la protection des mâles qui savent leur imposer les comportements qui conviennent à la décence féminine. Le ministre de l’Intérieur socialiste, pour ne pas trop mécontenter les obscurantistes qui sont fort nombreux en France, feint de vouloir résister à cette heureuse évolution, mais c’est qu’il pratique déjà la « takkiya », le pieux mensonge prévu par le Saint Coran. En fait, dans moins de cinq ans, grâce à nos amis socialistes, la France tout entière sera devenue musulmane et on pourra commencer, comme en Iran, à se servir des grues de chantier pour pendre les jeunes filles qui se seront livrées à des activités sexuelles illicites ou bien utiliser les galets de nos plages bretonnes, qui semblent d’une taille si heureusement proportionnée aux exigences techniques de la lapidation(*), qu’on se demande ce qu’ils font encore au bord de la mer quand il y aurait tant de cocus socialistes (et pas seulement !) à venger un peu partout.
Allah akbar ! Allah akbar ! Allah akbar !
(*) Un extrait de l’article Wikipedia consacré à la lapidation en Iran :
La peine de lapidation est expressément prévue par le code pénal iranien dans les articles 99 et suivants. L’article 104 du Code pénal iranien dispose que les pierres doivent être assez petites pour ne pas tuer instantanément. Depuis 2002, une stricte application de la loi est demandée, la Cour suprême iranienne doit confirmer l’existence de toutes les conditions requises.
Selon Amnesty International, trois personnes ont été lapidées en 2006-2007, et en janvier 2008 neuf femmes et deux hommes condamnés à être lapidés attendaient l’exécution de leur peine[28].