J’aime beaucoup la viande et je n’ai nulle intention de m’en priver pour permettre à quelques crève-misère de se reproduire comme des sauterelles dans des pays qui ne peuvent pas les nourrir. Mais outre la satisfaction morale que je retire de participer à la sélection naturelle au sein de ma propre espèce, il y a une autre chose que j’apprécie dans le fait d’être carnivore, c’est que je n’ai pas besoin de me retrouver avec d’autre personnes partageant mes habitudes alimentaires pour soutenir mes convictions. Elles tiennent toutes seules et se renforcent d’elles-mêmes à chaque bouchée de délicieux steak.