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Roque 24 novembre 2012 23:28

Je dois reconnaître qu’individuellement certains couples homos peuvent être bien préférable à des couples hétéro très dégradés. Mais une personnalité dégradée - quelque soit son orientation sexuelle - est toujours nocive pour l’enfant.

Maintenant je ne vais pas parler de cas individuels, mais de sociologie - c’est à dire d’une science qui met en jeu des moyennes, des intervalles de confiance et la signification statistique des résultats. Je vais aussi questionner la politique de l’homoparentalité envisagée pour notre pays. Comprenne qui peut qu’il ne s’agit pas d’une mise en cause personnelle !

 

Les médias, les politiques et les militants ne vous disent pas la vérité.

Depuis 1993, soit depuis environ 20 ans a été élaborée aux Etat Unis la légende rose de l’homoparentalité triomphante produisant des enfants brillants d’intelligence d’ouverture et de réussite. L’entreprise scientifique qui a promu ce changement de paradigme est représentée par Charlotte Patterson et l’American Psychological Association (APA). Charlotte Patterson – convoquée comme experte lors d’un procès en Floride (1996) – refusera de communiquer ses données et ses documents (30 études) à ses propres avocats arguant que cela concernait ses « ami(e)s ». Le tribunal retiendra – a priori – ces études comme peu probantes.

Mais il est maintenant avéré que ces études menées par les lobbies pro-LBGT sont sans valeur scientifique grâce à deux articles parus simultanément en juillet 2012 dans Social Science Research.

Loren Marks d’abord analyse la méthodologie des 59 articles présentés par l’APA dans son dossier argumentaire de 2005. Elle montre qu’aucune d’entre elles ne permet de conclusion scientifiquement fondée. Ces 59 articles sont – tous - simplement non probants !

Mark Regnerus ensuite. Certes il va mettre en miettes la méthodologie douteuse des études antérieurs, mais surtout il va reprendre une base de données sociologiques préexistante : le New Family Structure Study (NFSS) et il va l’analyse grâce à une enquête complémentaire : sur 15.000 contacts il trouve 3.000 jeunes adultes devenus majeurs entre 1990 et 2009.. Cette base de données est représentative de la population des Etats-Unis. Sur 40 variables étudiées, il trouve des différentes statistiquement significatives sur 25 variables entre les enfants élevés dans des couples homme-femme et les couples de lesbiennes. Voici quelques exemples :

- Auto-identification comme hétérosexuel : 90% contre 61%

- Attouchement sexuels subis de la part des parents ou d’adultes : 2% contre 23%

- Relation sexuelle subie sans consentement : 8% contre 31%

- Nombre de partenaires sexuels féminins pour les femmes : 0,22 contre 1,04

- Nombre de partenaires sexuels masculin pour les femmes : 2,79 contre 4,02

-  Etc.

Ces résultats sont de vraies questions … même si on risque – bien évidemment - une désapprobation de principe et des accusations d’homophobie. Ces résultats recoupent plusieurs études antérieures suggérant des attouchements incestueux dans l’enfance (Cameron et Cameron. 1996) et la reproduction de l’homosexualité des « parents » (Tasker et Gomolok.1995, avec d’assez nombreuses autres études).

Le trait le plus frappant est l’instabilité parentale subie par les enfants dans les couples de lesbiennes. Par exemple sur 163 mères lesbiennes, seuls 2 enfants (1,2%) ont été élevés de la naissance à la majorité (18 ans). Question recoupée également par d’assez nombreuses études : Refamedi (1994), Goode et Troiden (1980), Cameron et Cameron (1996) , etc …

Le problème est que ces études encore récentes ne sont pas connues ou sont niées par les intégristes pro-LGTB ! Etre élevé par un couple hétéro ou homo ce n’est - en moyenne - pas pareil !


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