L’amitié et/ou la camaraderie politique n’excusent pas tout. Qualifier sans rire de « prisonnier politique » un journaliste payé à ne rien faire, est ridicule et surtout insultant pour les milliers de vrais prisonniers politiques dans le monde et en particulier pour les dizaines de journalistes emprisonnés.
Et comment peut-on oser une affirmation aussi mensongère : on ne peut pas être à la fois communiste et journaliste ? Bien sûr que si qu’on peut : la plupart des journalistes d’Europe centrale et orientale ne l’étaient-ils pas jusqu’en 1989 ?
Enfin, c’est quoi ce symbole meurtri de l’indépendance solidaire tatoué au revers de son poignet ? Une faucille et un marteau ? Son groupe sanguin ? Que de mystères…