« Voilà le grand paradoxe de notre société qui souffre non pas de misère mais d’abondance mal assumée. »
C’est exact. Nous vivons dans une société de clochards millionnaires qui préfèrent battre le pavé plutôt que de jouir de leur statut de riches mal assumés. Dingue, ça... Et ils sont des millions dans ce cas, mal dans leur peau, trop gavés de pognon qu’ils sont. Du coup, pudiques comme pas deux, ils ont résisté aux sirènes de l’opulence...