Merci l’auteur, en effet, je lis depuis un moment vos articles et je suis en grande partie d’accord avec vous. Les gens ne sont pas reconnaissants, ils préféreraient vivre au moment des mouroirs pour malades pauvres comme avant ? Ou être à l’époque de François Villon, où l’on pendait environ la moitié des pauvres arrêtés pour vol à Paris ? Franchement, la situation actuelle me convient tout à fait, tant que la société qui exclut et souvent pour de mauvaises raisons des personnes les « indemnise » en quelque sorte, par compensation, et a le bon goût de les laisser vivre comme ils l’entendent.