Ode à Raphaël Zacharie d’Izarra
Au Mans douce campagne au parfum de rillettes
certains font dans l’oie, d’autres dans le porc
Et te voici Raphael, qui dans l’écriture te jette
tel l’Izarra que l’on s’injecte et qui endort
A regarder derrière ta droite et fière particule
inscrite au postérieur de ton double prénom
De Rimbaud tu ne seras pas le Jules
de peur qu’il ne... Mais bon...
Des verbes bavards qui font d’inutiles logorrhées
je préfère les plus sincères qui sont souvent muets
dans la nuit et dans l’ombre des heures passées
attendant le soleil derrière la tour de guet
Calliope la muse avec toi aurait pu manger
si des mots tu avais su faire la juste pesée
Foin de balivernes et autres billevesées
tel Paul Ricard attends-toi à une longue traversée...
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Il ne manquait plus qu’une ôde à Raphaël Zacharie d’Izarra. C’est maintenant chose faite...
Raphaël, si tu veut faire la musique pour aller avec, ces vers sont libres de droits, tu peux commencer quand tu veux...
Cordialement et sans rancune, petit frère...
Christifer.