Moi ce serait plutôt la mère qui me choque sur ce coup-là. Une erreur, je veux bien, mais trois ! Que le père de famille s’estime lésé se comprend, je me mets à sa place.
Ceci dit, l’auteur soulève un vrai problème. Qui est reconnu comme le père ? Celui qui déclare l’enfant comme le sien, ou le géniteur ? Dans notre société post-moderne, j’ai l’impression qu’on penche pour la première otion, adoptions, PMA, banques de sperme, bébés catalogue etc.... Dans ce cas, il serait juste d’en finir avec cette mascarade des procès en paternité biologique, quelquefois des années après, sur des hommes non consentants.
Si des hommes qui ont consenti à donner leur sperme pour fabriquer un bébé sont protégés de tels procès, on se demande bien pourquoi ceux qui n’ont jamais voulu d’enfant se retrouvent à payer une pension alimentaire !
Une clarification s’impose.