C’est Nabum
Le diablotin, au
teint blotti, rien aboli.
C’est beau à lire,
plus dur à dire, le plat est cuit.
Diabolique rime avec diable oblique.
Me voilà bien dubitatif,
Devant tant de mots ablatifs.
La rime oblige, que le diable tique.
Après les ronds dans l’eau,
Revenons à nos pieds,
Quelques flaqueries à dos,
Autant de menteries au nez.
Qu’il est bon de dire ainsi,
Assis, face à l’écran,
Que les crans de sureté rient,
Et font fumer tout l’errant.
Confidence, pour confier dans ce plat,
Qu’un conflit danse, un confit dense.
Un peu con j’en conviens, je m’assois.
Ma soif de soie, de soi, me scie en silence.
Car l’amour est un leurre,
Quand l’amour éteint l’heure,
Ma dulcinée hallucinée se rend,
Lucifer de l’enfer me ment, l’enfermement.