la décence ne peut pas être réclamée de la part d’une cohorte d’abrutis pétainistes ou(et) OAS à la bêtise légendaire, la mauvaise foi endémique, à ce point que même un homme de droite l’a décrit en son temps comme « la droite à front de boeuf ». Le taureau, lui, a des coucougnettes.
On ne peut pas demander la moindre lueur de décence à des cohortes de racailles qui prétendent trouver des circonstances atténuantes à des meurtriers tellement courageux, qu’ils s’y sont mis à au moins deux gros balaises tatoués de croix gammés et armés de poings américains pour massacrer un « premier de la classe » épais comme un cure-dent.
On ne peut pas demander de la décence à la lie de notre république qui admet comme une provocation le fait d’insulter des types qui portent des croix gammées en tatouage. Je rappelle que ces croix gammées sont encore plus interdites que le voiles intégral. Mais cet aspect de la loi, ces résidus de caniveau réacs, s’en foutent. Eux, les adorateurs de l’ordre, le savent bien. L’ordre .....c’est pour les autres.
Mais on peut demander à la presse d’avoir de la décence. Or, vous remarquerez que l’intégralité de la presse parle de « Clement Meric » ou même de « Meric » comme dans 20 Minutes ce matin. Par contre, pour décrire l’assassin à croix gammée TOUTE le presse dit « Estéban ».
Par son petit nom, affectueusement, on est appelé quand on est un assassin néo-nazi.
Allez-y, de Libé à L’Obs en passant pas la Pravda, pardon, l’AFP, on parle « d’Esteban ». A point que si chacun connait le nom de « Meric » tout le monde parte d’« Estéban ».
A partir de là, la décence devient superfétatoire.