Comme le souligne l’auteur, tous les dés sont pipés. Nos « brillants représentants », Barroso et Van Fripouille sont totalement inféodés aux USA, que ça en est caricatural.
Pour tenter d’éviter l’effondrement - ou le retarder encore un peu- les élites au pouvoir tentent un dernier coup : relancer l’activité en enlevant toutes les barrières avec les USA. Tout le monde s’accorde pour dire que cela va d’abord et surtout profiter aux USA. D’autant que l’on peut donc prévoir que quasi toutes les décisions seront en leur faveur.
Or, nos -hélas- dirigeants n’empêcheront rien. Juste PEUT ËTRE un peu de répit.
A moins -cas très probable- que tout le chateau de carte ne s’effondre avant même qu’ils aient eu le temps de mettre tout cela en place.