Il faut bien reconnaître que les indications officielles présentent des zones d’ombre inquiétantes. Nous pouvions penser que certains secteurs de production ne pouvaient pas être délocalisés, en particulier ceux qui travaillent sur le secteur géographique français. Eh bien, c’est la main d’oeuvre à bas coût qu’on va délocaliser. Pourtant, c’est un problème qui semblait réglé depuis quelques années. Chassez le diable par la porte, il rentre par la fenêtre.
De plus, puisqu’il s’agit d’infrastructures devant permettre la desserte du CEA, je suppose qu’il s’agit d’argent public à l’origine même s’il devient privé en passant par les mains de Vinci.