Plus de 2 ans après la catastrophe de Fukushima, la seule « compétence » que Tepco
semble maîtriser est la rétention d’information. Pour le reste, le
producteur d’électricité, qui exploitait la centrale accidentée, a
surtout réussi à s’illustrer par ses carences. Dernier exemple en date :
l’annonce la semaine dernière d’une fuite de 300 tonnes d’eau
contaminée dans l’océan... tous les jours, et ce depuis mai 2011 ! En
tout, entre vingt et quarante mille milliards de becquerels auraient fui
dans le Pacifique - plus selon les ONG -, alors que Tepco soutenait
jusque-là que cette eau était retenue prisonnière dans les sous-sols du
site de Fukushima Daiichi. source et suite