Jean-Philippe, je suis entièrement d’accord avec vous, malheureusement seul une catastrophe d’une grande ampleur nous contraindra à nous modifier, comme l’histoire humaine nous la si souvent démontrer, alors en effet qu’on si soucie ou nous cela n’importe pas. Je vous parie qu’on finira par exploiter le gaz de schiste quand le taux de chômage aura atteint un seuil réellement insupportable et que les transfert sociaux ne pourront plus y remédier suite à la faillite programmée des états. Toute croissance même verte entraînera une flambée des prix des matières premières. Imaginez la Chine faisant tourner son industrie avec des éoliennes ou autre énergie dite durable plutôt qu’avec du charbon !