Aimable, bonjour
Je ne partage pas votre rousseauisme
Depuis le néolithique surtout, point de départ de l’agriculture, l’homme a dû lutter et ruser avec les forces naturelles.
Mais l’intelligence et le bon sens de l’homme peuvent permettre d’ établir un équilibre relatif avec ces forces vitales, comme on le voit par exemple dans l’article de Blé, paru aujourd’hui.