Là où le bat blesse, c’est que dès qu’on gratte un peu on découvre que Ségolène Royal est une créature de Mitterrand, qu’elle a toujours fait partie de son clan depuis son arrivée à l’Elysée en 1982 et qu’elle lui doit intégralement sa carrière.
Avec ou sans son frère Gérard et le reste de la famille, Ségolène Royal incarne par elle-même, pour les présidentielles de 2007, le retour de l’une des pires périodes de l’histoire de ce pays. C’est cela, le véritable problème.