L’intérêt supérieur de l’enfant doit être l’élément essentiel à considérer... Or, bien souvent est privilégié la sacro-sainte croyance que les géniteurs sont primordiaux dans le développement de l’enfant. Or, il n’en est rien, et c’est bien souvent le contraire dans de nombreux cas de placements judiciaires (il n’en est pas de même pour les placements administratifs. Le travail admirable des assistants familiaux est souvent mis à mal voire ruiné par des décisions judiciaires autorisant le retour, même pour quelques heures, de l’enfant auprès de ses parents maltraitants.