En matière de modèle scientifique à long terme, lorsque j’entend le mot « consensus » , je change de trottoir. Surtout lorsque le dit consensus est surmédiatisé et sert en premier lieu à justifier une nouvelle taxe. Et qu’on entend de plus en plus de voix discordantes comme celle du climatologue François Gervais, lui-même membre du GIEC...
Alors qu’il existe des problèmes écologiques sérieux ici et maintenant (disparition des espèces, pollution des rivières et des nappes phréatiques, raréfaction des matières premières, surpopulation...), sans compter les problèmes économiques et sociaux, on se focalise sur un hypothétique problème à long terme (je ne nie pas qu’il puisse exister) dans lequel le rôle de l’homme n’est peut-être pas si grand que cela par comparaison.
Bref, ça sent l’enfumage.