Le postulat est séduisant, mais je le trouve difficile dans l’application, les gouvernements successifs vont à chaque fois tout changer ce qui va aboutir plus ou moins à un couteux immobilisme.
Peut-être serait-il plus judicieux d’introduire une part de hasard en revanche dans l’attribution des promotions ou pour entrer dans certaines grandes écoles...
Cela permettrait un meilleur renouvellement de la classe dirigeante et donc sans doute plus de progrès.