L’objection majeure que j’ai à faire dans ce cas là, c’est le déplacement du pouvoir face à une assemblée choisie au hasard et relativement mal renseignée. Les conseillers, experts et autres communicants seront les vrais acteurs du pouvoir alors. Comme ce qu’il se passe avec les lobbys à la cour européenne, où les députés sont pas franchement au point sur ce qu’ils sont supposés défendre.