@ Marsu
Quand je vois les réaction du débile bleu, je ne peux m’empêcher à un dessin de Loup dans Tutti Frutti que j’aurais bien aimé pouvoir placer pour illustrer l’indigence et le ridicule, si t’as l’album c’est dans « le grand café », quand le serveur s’appuie sur la table du client et qu’il dit « qu’il est con ce type »...
Bon à part ça. Je vais encore une fois bien m’amuser, je le sens. Je n’ai jamais voulu écrire un texte sur le bouquin de Buckner. Quand je l’ai envoyé (lundi matin) à la rédaction d’Agora, je n’avais pas mis d’illustration et c’est eux qui l’ont publié avec la photo de la couverture du livre. Je ne l’aurais pas fait. Mais bon, ça ne me dérange pas outre mesure vu que la couverture paraît plutôt belle.
La thèse de Bruckner est bien connue. J’ai ma propre opinion sur le sujet et je l’expose sur Agora depuis pas mal de temps déjà. Je n’ai pas attendu Bruckner ou qui que ce soit pour la peaufiner. Alors qu’on me reproche d’effacer le nom de l’auteur dans mon texte me fait bien ri-go-ler. C’est que , décidément, il ne comprend rien à rien le vomissoir passé au bleu de prusse. Mais je vais le rassurer : c’est non seulement « exit Bruckener » mais c’est aussi « Brucker, sur ce coup là, je m’en fous ». J’ai fait juste un clin d’oeil qui se réfère à une actualité médiatique. Et le crétin qui se présente à nous toute la journée comme un panaris poussant sur un ticket d’entrée pour Aqualand, parle de « piratage » et il me reproche de ne pas avoir lu le livre, alors que comme pour « Indigènes » je revendique cette position.
Je sens que je vais passer une bonne journée. Bien à toi. Bouffons tous du bouffon bleu. Patrick Adam