@ Torr-Ben
Merci de souligner ce qui mérite de l’être. Vous avez résumé en quelques lignes l’étendue du désastre qu’il nous faut colmater tous les jours. Il nous manque un Courteline pour qu’on puisse renvoyer dans leurs salons mités tous les nouveaux bourgeois de la gôche moralisante qui s’est goinfrée, pendant vingt-cinq ans, en spéculant sur des appartements construits par un baron Haussmann qu’ils vouaient aux gémonies. La bobolitude est le pire ennemi de la pensée d’aujourd’hui.
Bien à vous. Patrick adam