Je pense que la prohibition est un moindre mal. Un des effets pervers de la dépénalisation serait de voir l’économie souterraine de certains quartiers se rabattre sur des « drogues dures » (héroine, crack...).
Pour cela le cas des Pays-Bas est assez révélateur : non seulement la légalisation du cannabis n’à pas permis l’éradiquation du marché noir mais en plus, en privant de revenus toute une partie de la population, les a poussés à vendre d’autres produits autrement plus problématiques au niveau de la santé publique.
Faisant de ce beau pays une des plaques tournantes en matière de substances illicites...