Fumeur régulier depuis maintenant 14 ans (avec quelques interruptions de quelques mois à un an) et cultivateur d’intérieur satisfait, je suis beaucoup plus préoccupé par ma dépendance au tabac.
J’invite maintenant l’auteur de l’article à se pencher sur les Headshop car il existe un procédé nommé la vaporisation.
Le principe c’est de chauffer la substance entre 130 et 230 degrés Celcius, températures auxquelles sont produites les vapeurs médicalement actives, mais au dessous du seuil de combustion.
Les vapeurs produites sont remarquablement pures, composées de 95 %de THC avec des traces de cannabinol (CBN). Les 5 % restants consistes en de petites quantités de trois autres composants, le premier suspecté d’être un proche des cannabinoïdes, le second du PAH (hydrocarbure aromatique polycyclique), le troisième du caryophyllène, un terpène
A contrario, plus de 111 composants apparaissaient dans les gaz de combustions,y compris une demi-douzaine de PAH connus.88 %des gaz contenus dans la fumée n’étaient pas des cannabinoïdes.
Pas de monoxyde de carbone, pas de goudrons et surtout pas de nicotine...
La solution idéale pour arrêter la clope, j’attaque demain (je sais c’est de l’apragmatisme mais je me soigne).