Pourquoi on ne déprohibe pas, c’est un autre problème
Le gros problème, c’est qu’on est réellement face à un produit dangereux, et qu’il n’est quand même pas évident de dire qu’on va autoriser un produit tout en affirmant qu’il ne faut pas en consommer. La positon prohibitionniste a le mérite politique de la cohérence : c’est dangereux, c’est interdit, point barre.
D’autre part, les journeaux ne vont jamais titrer « un drame de la prohibition » comme ils peuvent titrer « un drame de la route ». Je ne vois aucune accroche émotionnelle pour soutenir la dé-prohibition, seulement des argument rationnel, or notre pays est littérallement décérébré (pas chacun d’entre nous, le pays), seul le « coeur » dicte sa loi. On le voit d’ailleurs très bien sur toutes les questions (économie, social, santé, éducation), etc. et c’est parfaitement démontré par moult essais best-seller