Votre article n’apporte pas grand chose au « schmilblick »... Il fait trop penser au point de vue d’un occidental qui n’est pas conscient de « l’endroit où il parle » pour paraphraser Jacques Lacan. Le monde musulman demande une analyse bien plus fine, complexe et moins provocatrice. C’est un peu comme si vous vous interrogiez sur un gène de l’homosexualité ou de la criminologie...