Spartacus,
Vous avez le chic pour mettre en colère Parway et son collègue Piratome.
Mais désolé, vos arguments, Spartacus, concernant la TVA ne tiennent pas une minute devant ceux de Parkway dont je résume ici la pensée :
t’es vraiment une cloche, tu sais ?
qu’est ce qu’on rigole avec spârtacul !!!!
spartacul
est gros conmique
il a un demi-cerveau de droite néo
libérale
spartacul, t’as voté sarko, cest kif-kif !!!!
et le dernier argument qui néantise votre théorie sur la TVA :
ducon !
Comme vous le savez, Spartacus, les dysphasies reflètent une variété de dysfonctions des
circuits cérébraux requis pour la compréhension, l’élaboration
et la programmation du langage. La nature de ces dysfonctions est
inconnue ; elles peuvent provenir soit, dans la plupart des cas, d’un
problème génétique, soit de lésions précoces au cerveau encore
immature (pendant la grossesse, anoxie à la naissance, ou autres).
Aussi, pour vos prochains articles et pour ne pas froisser l’intelligence de Parkway (qui est supérieure à la votre, tant sur le plan du vocabulaire que du raisonnement), je vous suggère d’adopter les techniques suivantes :
* capter l’attention de l’enfant en l’appelant par son nom
ou en le touchant doucement ; * choisir un thème qui suscite son intérêt ; * adapter la façon de parler au niveau de langage de
l’enfant ; * parler lentement, en utilisant peu de mots à la fois
et en articulant bien ; * ne pas hésiter à répéter plusieurs fois
; * mettre de l’intonation dans la voix, utiliser des gestes et
recourir au contexte ; * favoriser l’utilisation d’une seule
langue ; * établir une relation favorable. Toutes les formes de
communication (gestes, regards, etc.) sont acceptables. S’amuser
avec l’enfant. Sans communication, il n’y a pas d’apprentissage
; * favoriser l’élaboration des moyens compensatoires en faisant
appel aux forces de l’enfant ; * utiliser le support visuel pour
favoriser la communication ; * placer l’enfant en garderie dès le
bas âge afin de favoriser le développement des moyens
compensatoires.
Ne me remerciez pas, Spartacus, je fais ça pour votre bien.