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El Old Fritz El Old Fritz 1er février 2014 14:43

"Quand vous ne savez plus quoi dire vous parlez de la suède, qui n’a rien a voir, avec en plus une autre affirmation complètement aberrante ?« 

La Suède a tout à voir, puisqu’elle est en Europe le terrain d’expérimentation privilégié des immondices du gender. Quant à mes affirmations aberrantes, renseignez-vous sur Egalia : vous verrez, ils sont fous et ils s’en vantent.


 »Donc par votre peur en partant de « détruire les stéréotypes qui mènent a penser que les capacités de la femme sont inférieures a celles des hommes vis a vis de certains métiers et vice versa afin d’apporter un respect mutuels » vous en arrivez a « il s’agit de perturber leur développement mental ». Mais par quel moyen vous en êtes arrivé a cette conclusion ?« 

La volonté d’égal accès au métier a bon dos. Un rapport de l’ONU (du BIT, plus précisément) a définitivement tordu le cou aux prétentions suprématistes occidentales en matière d’égalité homme-femmes au travail. En effet, les chiffres démontrent que c’est dans certains des pays parmi les moins »égalitaires« (par exemple le Bangladesh) que l’on retrouve le plus de femmes dans des métiers dits »masculins« (l’étude estime que cela est lié au peu de libertés que les femmes, notamment les plus pauvres, ont dans le choix de leur profession) ; alors qu’à l’inverse, c’est dans les pays scandinaves (considérés comme les plus »avancés« en la matière, que les femmes »reproduisent« le plus spontanément ces »schémas genrés« que vous dénoncez. Conclusion, là où elles ont le plus de liberté, les femmes deviennent plus volontiers institutrices que forgeronnes, plus volontiers infirmières que maçons (encore que je connaisse assez pu d’hommes ayant envie d’exercer cette dernière profession).

Quant à être médecin, pilote de ligne ou chimiste, rien n’empêche les filles de se diriger vers ces métiers. Mais encore faudrait-il, pour embrasser une telle carrière, savoir lire, écrire et compter correctement...

 »Et bien citez moi ce qu’on y trouve et qui confirme vos dire plutôt que de faire des sous entendus.« 

Qu’à cela ne tienne. Donc, page 38 du rapport, je lis que, s’agissant des enfants de 0 à 4 ans, les enseignants devront, pour se conformer à ces »standards sexuels" :

- Informer l’enfant sur :


"le plaisir et la satisfaction

liés au toucher de son

propre corps, la

masturbation enfantine

précoce"

(Note : à part cela, non, il n’est question nulle part de masturbation. Qu’est-ce qu’on se marre...)


- Permettre à l’enfant de :


"devenir conscient de son

identité sexuelle

"exprimer ses propres besoins,

désirs et limites, par exemple

en « jouant au docteur »

(Note : c’est le boulot de l’école, ça ? Merde... je n’ai rien compris à la vie, alors. Mais les enseignants seront juste spectateurs des ébats de leurs élèves, ou ils joueront un rôle actif ?)


- Aider l’enfant à avoir :

"une curiosité pour son corps

et le corps des autres"

(Note : au passage, vous remarquerez que ce paragraphe ne précise pas « les autres enfants ». Hum... je me demande bien pourquoi...)

Allez, mea culpa : je croyais que vous étiez de mauvaise foi, quand je réalise à présent qu’en fait, même si vous ne défendez pas, à proprement parler, ces mesures, elles ne vous choquent en rien. Je ne gaspillerai donc plus mon temps à vous répondre. Comme disait un slogan publicitaire : « nous n’avons pas les mêmes valeurs ».



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