l’article , pour lequel je ne vote pas, essaye de sortir l’Europe de toutes les contradictions qu’elle a accumulé depuis 60 ans . Il faut être réaliste : en raison de ces contradictions c’est un échec . Doit-on perdurer dans l’échec ? je fais le parallèle de la construction européenne avec la conception du système solaire avant Copernic... pour expliquer le tout on avait recours a un tas de procédés d’approximations qui pour tout expliquer n’expliquaient rien.

De la même façon vu les carences, les influences, les contradictions, les conflits internes il faut se résoudre à la même attitude : l’abandon d’une construction théorique qu’on ne peut même pas qualifier d’usine à gaz mais seulement de galimatias.

Strictement tout remettre à plat. L’Europe fédérale c’est un échec qui coûte cher, où le caniche d’outre-Manche et le dogue d’outre-Rhin font le jeu du maître-chien d’outre Atlantique. On est parti a six n’ayant pas de bases éthiques communes, des tédesques, des latins, auxquels s’agglomérèrent au cours du temps, des anglo-saxons, des finno-ougriens, des slaves.....

A repenser l’Europe elle doit se bâtir sur des concepts plus éthiques : la latinité, qui peut s’étendre à une partie de la Méditerranée - mais pas entièrement ... des finno-ougriens, des slaves, des anglo-saxons .... Là il y a des valeurs de base commune, alors qu’à la fondation le problème fondamental était d’éviter que l’Italie , notamment du Sud, ne basculât outre-rideau-de fer. Alors on offrit des places de mineurs dans les bassins qui pouvaient recevoir en Belgique, en France et en Allemagne....

gangrénée de l’intérieur , par la diffusion mafieuse international qui apparait de plus en plus ( par exemple dans l’éolien - voir les confiscations de la Guardia di finanza, la santé - comment provenzano put-il se faire opérer en France sans être repéré, les services publics.....) comme la grande profiteuse des délires bruxellois