ben , comme ça, au cas où, on sait comment les rassembler.
C’est triste à dire mais ces zigues ont vraiment la nostalgie des atroupements de consanguins d’esprit.
Quand je pense que la génération de ceux qui ont souffert dans les camps ne c’est pas encore éteinte, que certains pensent de nouveau à les rassembler, mais cette fois,pas dans un Veldiv mais autour d’une table de bombance.
il y a vraiment des nostalgiques de Judas.