Pas vraiment. ATTAC a eu du mal à se décider à agir contre le Millenium Round de Seattle à l’automne 1999. Il n’a pas appelé à la manifestation de Davos de janvier 2000. La raison : la « gauche » gouvernait en France, et de surcroît on entendait dire que « les syndicats américains étaient contre » ces mobilisations. En réalité, l’alors président de l’AFL-CIO était membre de la Commission Trilatérale.
Quant à la situation actuelle et aux documents et délibérations de la Commission ITRE du Parlement Européen, ce serait sympa de nous fournir un communiqué d’ATTAC qui les évoque. Sauf méprise, ATTAC n’a strictement rien fait à ce sujet.