Entièrement d’accord. De beaux paysages en train de disparaître, ça fait pleurer 2 minutes et après on oublie. On ne bouge que sous l’effet de la peur ou de la contrainte (en particulier financière).
Personnellement, je n’ai commencé à prendre mon vélo pour aller bosser qu’après avoir lu quelques articles assez effrayants sur le réchauffement climatique.
Pour ce qui est de la contrainte, je pense que l’analogie avec les contrôles de vitesse est valable : le nombre de mort n’a réellement baissé sur les routes qu’après avoir tapé au portefeuille. Les campagnes télévisées n’avaient aucuns effets durables.
Pour le réchauffement climatique, c’est pareil : taxer progressivement l’essence comme le préconise JM Jancovici par exemple.