Eh ben, vous êtes bien nombreux à commenter ce publi-reportage. J’ai eu le même coup avec la Chronique Agora (avec ce nom, ça devrait vous plaire) ! Ca fait quinze ans qu’ils m’annoncent le chaos en tentant de me vendre des parachutes à airbags.
De plus Goldup, ça sent à peine l’incantation.
Au passage, il faut se farcir une pub pour accéder aux commentaires. C’est du grand art de queneller ainsi un lectorat aussi rebelle.
Pour faire court, sortez donc votre carte bleue pour vous offrir les conseils de ce boutonneux et vous aurez en main un joli dépliant qui fait tellement de vent qu’il finira probablement dans vos toilettes. Ca aérera vos gogues de cette odeur de chiasse chronique.