Dans la situation actuelle, quand on a la chance de ne pas être en Israël ou à Gaza, il y a une économie qu’on pourrait aisément se permettre, c’est celle des pleurnicheries infantiles, et un luxe précieux dans les temps de crise : la distance qui permet l’analyse lucide, éloignée des passions partisanes.
Le monde est très vilain. Le monde, c’est Gaza ; tout est dans tout, et réciproquement. Voilà ce que j’ai retenu, et que les Israéliens sont des nazis. Les nazis, probablement, au point où on en est et puisque tout est dans tout, étaient certainement des enfants de Marie.
J’aimerais bien savoir d’où il parle, l’auteur de cet article.
M’est avis qu’il parle de la « cause » palestinienne comme d’autres parlent du nez.
Mais son discours est quand même celui de la propagande du Hamas, celui de la propagande iranienne, celui de la propagande du Califat. Encore quelques mois et il viendra nous faire ici l’apologie des malheureux militants de Boko Haram, si injustement calomniés par les media d’une civilisation occidentale férocement abominable. Une seule chose donc à souhaiter : qu’elle crève le plus vite.
Allah akbar !