On ne parle pas du fait de manger de la viande mais de la manière dont on s’organise pour le faire. Se donner l’excuse du prix ou d’un conditionnement de la société pour justifier les souffrances de milliards d’animaux n’est pas valable, et on le sait tous très bien. C’est un caprice, ou au mieux une excuse confortable.
Si chacun diminuait sa consommation à deux ou trois fois par semaine (ce qui est de plus en plus conseillé par des médecins vu le nombre de cancers du colon et de maladies cardiovasculaires qui y sont liées) et se procurait sa viande chez des petits producteurs, cela reviendrait au même prix que de s’acheter de la viande premier prix pour chaque repas de la semaine. Et ce serait bien meilleur au goût, ainsi que pour la santé, avec des antibiotiques, des hormones et des OGM en moins.