L’organisation est simple : les recettes fiscales sont trop importantes pour que le capital ne lorgne dessus.
Il lui serait (encore et pour le moment) difficile de privatiser l’impôt en revenant au temps des fermiers généraux.
Alors, à la place, l’État est le fermier général unique et centralisé : il collecte l’impôt pour le capital et lui en reverse la plus grande partie.