ce n’est pas sûr, mais on dirait presque que ce papier est biaisé,
en tout cas piégé d’office, de porter sur du reportage, et donc je m’en tiendrais au texte.
deux défauts :
on va pas faire de la science coranique à l’emporte -pièce sur deux ou trois versets cités à la va-vite, et dans la mauvaise foi de ne pas reconnaître que ce qui porte sur « l’au-delà » ne saurait être lu comme de ce monde déjà...
ensuite et surtout, cette volonté de cadrer, mettre le focus sur le fait que l’islam de France ou Français doit entrer en débat, comme si le noyautage, financier et autre, n’était pas connu comme bien présent pour empêcher cela d’abord,
mais surtout, comme si justement il était l’heure que la vérité soit dite, trouvée, dogmatisée une bonne fois pour toutes, etc.
il n’est nulle part écrit dans le coran par exemple de na pas serrer la main d’une femme.
qu’un urluberlu très égaré choisisse de rapporter ce trait tribal avec lui en Occident est son problème.
le coran, comme tout texte religieux est un miroir,
si vous respirez bien, que vous êtes en bonne santé,
vous sauterez à pieds joints au-dessus de tout problème ou toute friction,
vous avez l’esprit.
sinon, si vous êtes malade, vous y trouverez déployées toutes ! les maladies possibles.
nietzsche dans les carnets dits « de folie » :
« mais oui maman, je connais bien toute l’histoire de la maladie mentale,
car je lis très égulièrement la Bible ».
voilà, c’est dit, s’il y a un problème des banlieues,
un problème du chômage, un problème de la colonisation perdurable,
il s’appellera aussi peu coran que bhagavad-gita ou tintin au congo.
autrement on est tous bons pour la « coutellerie du pauvre »