On connaît la chanson, toutes ces bonnes âmes ne rechignent pas à se faire servir dans des restos ou il n’y a que des clandos en cuisine. Ils ne rechignent pas non plus à s’offrir un esclave à la maison. Quand aux membres des associations de défense des clandos, ils ne sont pas les derniers à beneficier dss faveurs sexuelles de leurs petits protégés, hommes ou femmes.
Faux culs, mais vrais négriers !