L’article soulève un sujet important : comment peut on justifier qu’il existe dans notre société des personnes sans obligation, payées sans rien faire et qui ont le même niveau de vie que d’autres, qui eux travaillent et ont plus de mal encore à subvenir à leurs besoins tout en étant obligés de payer dans leurs impots les rmistes ?
au Moyen-Age on distingait parmi les « clochards », ceux qui pouvaient travailler et ceux qui ne pouvaient pas. On prenait bien sur en charge les infirmes et autres personnes agées.
Je me demande souvent si nous ne devrions pas revenir à une sorte de mécénat : verser la totalité de leurs payes aux salariés (ce qui doublerait quasiment leurs salaires car les charges sociales sont particulièrement lourdes) pour relancer la consommation et l’emploi, et laisser les citoyens organiser eux-même une entraide sociale. Bien sur on laisserait leurs pensions aux vieux et aux handicapés. Et puisque nous y sommes, pourquoi ne pas proposer aux chomeurs d’aller contre rémunération faire les courses des personnes agées ?
Autant de pistes à exploiter, même si elle relèvent aussi un peu, je l’admets, de l’utopie...
Bill