L’auteur a une curieuse conception de l’égalité.
Ainsi tout à chacun recevrait, de droit, une part du gâteau égale à celles des autres. L’auteur n’évoque pas une seule fois une égalité dans la fabrication du gâteau, ni même dans le choix de ses ingrédients, de sa forme, de sa nature.
Et si je préfère les fruits et déteste le gâteau, devrais je en manger tout de même pour me conformer au principe d’égalité ?
L’auteur pense t-il que l’égalité des goûts est dans la nature ?
La conception que l’auteur à de l’égalité se heurte à un autre concept, celui de liberté.
L’égalité républicaine n’est pas l’égalité de l’avoir mais l’égalité des droits et des devoirs.
La liberté de chacun s’arrête là où commence celle des autres.