On ne sait pas trop qui est le plus en tort. L’Ifremer qui joue les Frankenstein maritimes, ou les ostréiculteurs qui acceptent de commercialiser ces huitres génétiquement modifiées ? Ou encore au bout les consommateurs qui vont les acheter sans broncher ?
A un moment donné, il faudra bien que tout le monde prenne ses responsabilités, sans rejeter la faute sur un institut qui ma foi fait ce qu’on lui a demandé.
Que les ostréiculteurs fassent d’abord entre eux ce qu’ils ont à faire, non ?