Au lieu de continuer à cristalliser les mentalités entre la bien-pensance antiraciale et l’outrance de la peur de l’Islam, qui ne servent que de pare-feu aux vrais débats de société, la seule récupération possible dans de telles tragédies afin que ce type d’évènement ne donne des réflexions plus élargies et plus nauséeuses comme le fait l’auteur, est de respecter les idées d’une des victimes, à savoir Bernard Maris : http://www.les-crises.fr/bernard-maris/
Car, lorsque l’économie va, les tensions inter-confessionnelles sont moins prégnantes voire ridicules ou isolées.
Mais, comme tout bon politicien, l’auteur préfère s’attaquer aux conséquences pour éviter de s’attaquer aux causes.