on est assez d’accord. Un énoncé du genre « l’éthique révolutionnaire consiste à ne pas s’égarer dans les considérations morales des idéalistes » me parait correct.
le truc c’est qu’en jetant l’éthique avec l’eau de la morale tu en viens inévitablement à effaroucher le quidam (abominable tchékiste sans foi ni loi) : pas sûr que ce soit très productif...