À la lecture de sa dithyrambe sur le bien fondé et sur le contenu implicites de la « transition énergétique » française, comment ne pas soupçonner ce soi-disant capitaine d’industrie d’être un homme lige du pouvoir politique. Avoir le culot de se féliciter de l’avenir radieux et prometteur des filières éolienne et photovoltaïque d’EDF, quand on sait mieux que quiconque ce qu’elles ne cesseront jamais de coûter au contribuable (et à EDF !), relève en effet du cynisme, sinon de la provocation. Un cynisme d’autant plus intolérable, quand on sait à quel point ces deux filières étaient dramatiquement « florissantes » chez un Areva qui n’avait pas l’avantage de se trouver aux deux extrémités du système pervers de l’obligation d’achat.
le nucléaire ne coutant rien pendant des centaines de milliers d’années à gérer les déchets, c’est bien connu....
vous savez gérer ça pendant ce temps-là, vous ???
chapeau !