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Le Cri des Peuples Sayed 7asan 22 juillet 2015 22:48

Puisque les Trolls ignares ont fait leur œuvre malfaisante de piratage, donnant libre cours aux épanchements de leur noire bile, invitons-les non pas à la rigueur ou à la décence, ce qui relèverait de l’impossibilité ontologique, mais du moins à patienter quelque peu : on tâchera de poster d’autres contenus dans lequel leurs insanités, à défaut d’avoir le sens commun, seront au moins conformes aux questions abordées.

N’hésitez pas, Messieurs les Trolls, à aller cracher votre venin dans lesdits articles précédents. Car on vous comprend aussi : la seule façon de fuir sa propre vacuité, c’est de s’en prendre à d’autres parce qu’on les croit vulnérables. Mais prenez garde, vous risquez fort, en plus du déshonneur qui vous est maintenant consubstantiel, de vous casser les dents. Votre rictus de haine en sera d’autant moins avenant et d’autant plus révélateur des tréfonds de votre âme.

Pourquoi ne pas essayer d’honorer la mémoire d’un des derniers illustres Français, Charles de Gaulle, autrement qu’en incarnant à la perfection son célèbre mot selon lequel « Les Français sont des veaux » ? Faute de quoi, malgré toutes nos qualités, dues en très grande partie à notre éducation et à notre instruction de franco-maghrébins, ni nous ni quiconque ne pourront faire grand-chose pour cette nation en perdition qu’est la France.

Je remercie bien entendu les voix sensées qui se sont exprimées pour rappeler ces brebis égarées à la maison.

Allez, parce qu’on ne désespère pas de vous rendre bon à quelque chose, quelques citations extraites de Chateaubriand sur la grandeur, la fausse et la véritable : 

« Et pourtant qu’avais−je fait ? Où étaient mes intrigues et mon ambition ? Avais-je désiré la place de M. de Villèle en allant seul et caché me promener au fond du bois de Boulogne ? Ce fut cette vie étrange qui me perdit. J’avais la simplicité de rester tel que le ciel m’avait fait, et, parce que je n’avais envie de rien, on crut que je voulais tout. Aujourd’hui, je conçois très bien que ma vie à part était une grande faute.Comment ! vous ne voulez rien être ? Allez-vous-en ! Nous ne voulons pas qu’un homme méprise ce que nous adorons, et qu’il se croie en droit d’insulter à la médiocrité de notre vie. »

« Il y a des temps où l’on ne doit dépenser le mépris qu’avec économie, à cause du grand nombre de nécessiteux. »

« N’avez−vous pas honte d’insulter à un malheureux sans défense [Napoléon] ? Il est assez humilié par la triste situation où il se trouve, lui qui s’imaginait donner des lois à l’univers et qui se voit aujourd’hui à la merci de votre générosité ! Abandonnez-le à lui-même  ; regardez-le : vous voyez que le mépris est la seule arme que vous devez employer contre cet homme, qui a cessé d’être dangereux. Il serait au-dessous de la nation française d’en prendre une autre vengeance ! »


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