La visite du frère en ces lieux, c’est un peu de Patrick retrouvé. En plus, Carlo nous gratifie d’un texte inédit de l’auteur, aussi peu consensuel que d’habitude.
L’évocation de Patrick par son frère me fait penser, je ne sais pourquoi, à une chanson de Goldman :
Puisque c’est ailleurs
Qu’ira mieux battre ton cœur
Et puisque nous t’aimons trop pour te retenir
Puisque tu pars
Que les vents te mènent où d’autres âmes plus belles
Sauront t’aimer mieux que nous puisque
L’on ne peut t’aimer plus
Que la vie t’apprenne
Mais que tu restes le même
Si tu te trahissais nous t’aurions tout à fait perdu
(...) Sache qu’ici reste de toi comme une empreinte Indélébile
(...) Dans ton exil essaie d’apprendre à revenir
Mais pas trop tard
(...) Garde en mémoire notre au revoir puisque tu pars...