la proposition de l’obligation d’avorter est vraisemblablement une provocation rhetorique destinée à souligner l’injustice d’une situation acceptée de fait. Les solutions pragmatiques pourront eventuellement etre discutées lorsqu’il sera admis qu’il ya un souci, ce qui n’est pas acquis...
Une renonciation à toute action en recherche de paternité à l’encontre du père piégé suffit, mais pour cela il faudrait que le consentement des deux geniteurs soit requis, ce qui n’est pas le cas à ce jour. Seul le consentement de la mère est demandé, leshommes n’ont qu’à faire avec la décision sans moufter. soit faire le deuil d’un enfant qu’ils souhaitaient, soit assumer la charge (financière mais pas que... affective, emotionnelle, logistique, professionnelle) d’avoir la responsabilité d’un rejeton non désiré.
c’est bien là le probleme