@Yurf_coco
Une revue financée par un gros lobby allemand et américain, en lien avec des hommes très riches, donc la neutralité Zéro mon coco ! Voici les dernières nouvelles du front climatiques, a force de mentir la vérité se fait jour, et non les banquises ne fondent pas, et les pôles ont deux saisons ...Encore faut’il le savoir :
http://www.france24.com/fr/20151104-nasa-antarctique-glace-fonte-climat-cop21-altimetrie-rechauffement-climatique?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter&dlvrit=66054
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La Nasa vient de faire un beau cadeau aux climatosceptiques… en
apparence. Une étude publiée samedi 30 octobre “contredit les
conclusions notamment du Giec [Groupe d’experts intergouvernemental sur
l’évolution du climat, NDLR] qui affirme que l’Antarctique perd en
surface de glace”, affirme l’agence spatiale américaine.
Au contraire, la masse totale de glace aurait augmenté grâce à une
accumulation continue de neige depuis 10 000 ans. Cet enneigement serait
plus important que les pertes dues à la fonte des glaciers.
“Plus il fait chaud, plus il neige”
“C’est un coup dur pour les tenants d’un discours alarmistes sur le climat”, se réjouit ainsi le site américain conservateur Breitbart. Du
point de vue des climatosceptiques, hausse des températures et
augmentation de la masse de glace du continent Antarctique sont
incompatibles.
“Je sais que certains vont sauter sur l’occasion pour prétendre que
cette étude démontre qu’il ne faut pas autant s’inquiéter, mais ils ont
tort”, affirme Jay Zwally, l’auteur principal de l’étude de la Nasa.
L’accumulation de neige découle en fait directement du réchauffement
climatique. “Plus il fait chaud, plus il va neiger. Au centre de
l’Antarctique, où il fait -50°C en moyenne, le climat est, à cause du
froid, aussi sec qu’au Sahara et lorsque les températures augmentent de
quelques degrés, il y a davantage de précipitation et donc plus de
neige”, détaille Gerhard Krinner, directeur de recherche au CNRS et
spécialiste du climat polaire, contacté par France 24.
La méthode utilisée par le spécialiste américain de la Nasa pour
mesurer l’évolution du bilan de la masse de glace n’est, en outre, pas
la seule : il y en existe trois principales.
La technique préconisée ici, appelée altimétrie, “donne des estimations
toujours plus élevées que les résultats obtenus grâce aux autres
méthodes”, rappelle Gerhard Krinner. Donc rien d’étonnant que l’étude
n’aille pas dans le sens du Giec qui, de son côté, “résume les
conclusions obtenues grâce à toutes les méthodes qui existent”, explique
ce spécialiste.
D’où vient l’augmentation du niveau de la mer alors ?
La principale différence entre les conclusions de Jay Zwally et le
discours dominant en la matière est que le chercheur de la Nasa juge que
l’Antarctique n’a pas encore commencé à perdre globalement en masse de
glace… mais que cela va arriver. Les experts du Giec pensent, quant à
eux, que ce processus a déjà commencé. “Le débat n’est donc pas de
savoir si la fonte des glaces a lieu mais de savoir à partir de quand ce
phénomène sera plus important que l’enneigement continu”, résume
Gerhard Krinner.
Si, en outre, Jay Zwally a raison, le monde se retrouve alors avec un
nouveau problème climatique sur les bras : comment expliquer la hausse
du niveau des océans ? Pour beaucoup, y compris les experts du Giec,
elle est due en partie à la fonte des glaces en Antarctique. Le
spécialiste de la Nasa assure, qu’au contraire, la contribution de ce
continent à la hausse du niveau des mers est négative. “Cela signifie
qu’il y a un critère qui n’a pas ou pas suffisament été pris en compte
jusqu’à présent“, avertit Gerhard Krinner.
Le spécialiste évoque alors plusieurs hypothèses. Les glaces du
Groenland fondent plus vite que prévu, ou alors la température de la mer
augmente plus rapidement accélérant la fonte des glaces. Ce pourrait,
enfin, être à cause des glaciers des montagnes qui disparaitraient à un
rythme plus soutenu. Autant de pistes toutes plus climato-déprimantes
les unes que les autres.