« Une telle accumulation de maladresses – et c’est un euphémisme –, commises par des hommes soit-disant pieux et instruits, a contribué à la perte de foi d’un grand nombre de personnes, et ainsi préparé le terrain pour l’enracinement de la pensée matérialiste. »
Je pense, au contraire, que ces hommes étaient non seulement pieux et instruits, mais également de fins connaisseurs de la psychologie et de la nature humaines. Ils savaient que si on commençait à fermer les yeux sur l’ouverture de certaines portes, on finirait par les ouvrir toutes, et que bon nombre d’entre elles donnaient sur le vide que vous constatez.
Leur combat était perdu d’avance, mais leur devoir était de le mener, et ce n’est pas un euphémisme de parler de « maladresses », c’est une bêtise - et ça, c’est un euphémisme.